vendredi 28 octobre 2011

original black minstrels


bert williams était un amuseur noir qui forçait ses traits pour devenir un blackface, un black minstrel/emmett miller était un blanc de géorgie qui chantait le blues en black minstrel ...
d'où dylan vient-il, hein?

le retour du white minstrel


cette chanson, romance in durango, n'est vraiment pas ce que dylan a composé de meilleur ... artificielle, faussement enjouée, elle pourrait passer pour un échantillon pris sur le vif de tout ce qu'un chanteur folk américain ne devrait jamais faire ... il y a pourtant là une authenticité, une vérité, une vérité fardée évidemment, qu'on trouve rarement chez lui ... cette vérité là, faite de mensonges superposés qui en viennent à s'annuler, d'où vient-elle?
(à suivre)

white minstrel (suite)


it ain't me babe

it's a hard rain's a gonna fall/never let me go (avec joan jaez)
it takes a lot to laugh, it takes a train to cry

sara/dix chansons en white minstrel (1975)

mardi 25 octobre 2011

new york, juillet 1965


lunatic princess, un inédit sublimement électrique, enregistré en juillet 1965 pendant les sessions de highway 61 revisited (les images sont d'andy warhol)

anvers, 19 octobre 2011


love sick & not dark yet/on voudrait avoir les chansons dans leur totalité, mais tels quels, ces fragments de dylan en crooner sont presque parfaits de lenteur ralentie et de délicatesse enfantine

memphis, 30 juillet 2011


sugar baby, la dernière preuve enregistrée du génie de bob dylan, intact, délicat, fragile

" invraisemblable ou pas, crois-moi, c'est la vérité -et il n'y en a pas deux ..."