.................................................................sugar baby (brighton, 2002), en hommage non crédité et improbable au blackface emmett miller (revu par le détour sucré leon redbone)
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twenty years ago, as if he was ahead of his own sinatra/tranfiguration time, young bobby sings his pre-crooner folk tune in hommage (he was 55)
.................................................................................... "Parigi è sempre Parigi" (1951)
...................................................................................... 3 octobre 2015
j'écoute depuis le trois novembre les six disques du volume douze des bootlegs ... .... just music, pure drunken drugged music ... .... .... ..... .... la photo de pochette du EP français de dylan est signée .... bernard gidel
le juif de lascaux est passé au FID à Marseille, jolis souvenirs .... et quelques phrases douces d'emile breton (l'humanité) et vincent ostria (les inrocks) pour ne pas oublier tout à fait ....
........................................................................................j'ai aimé cette femme pour ce film, aucun autre d'elle ni de personne ne lui ressemble : deux femmes glissent sur le corps l'une de l'autre comme deux poissons ... qui n'aimerait pas être l'une de ces deux amoureuses sèchement aquatiques? ça nous change de tous ces pédés qui s'enfilent et se sucent à longueurs de plan, chacun faisant la promotion de sa ressemblance avec l'autre .... je, tu, il, elle est le seul film à brandir l'amour entre femmes en étendard .... je t'aime pour la vie, ma petite anne, ma soeur juive aux yeux clairs, chaplin miniature pour des temps plus hardis, plus expérimentaux en tout cas .....
crétin de lumière qui initie le monde aux travelogues documentaires sur les bords du nil ou du danube, des trucs qu'il ose labelliser "cinématographe" alors que c'est d'emblée de la télé bouche-trou d'après-midi ...
revoir le premier film muet en forme de spot télé pour la lessive (1915), ou plutot le savon moussant, et on comprend tout ... le revoir où, tontonton louis? z'etes assez grands pour chercher, non?
... la télé, je supporte encore, pas l'atroce nouveau nouveau journal de bolloré et mayeté birabène, pas le diner indigeste de FR5, pas les clowneries écarquillées du simili-sabatier de service hanouna sur D8, pas les séries aux hormones à la mode de canal plus ... rien qui fasse sa propre publicité, en direct ou en différé ....
désolé de l'oubli lumière, crétins de ciné téléphiles, even HERE ....
look for his films, and think at least three minutes every day, that's my advice, friends ....
il n'aura fallu qu'une photo d'enfant mort maquillé/mignon, en un mot gentiment français, pour tourner la tête des salauds de l'hexagone, ceux là même qui ont dénoncé les juifs en les jetant vivants dans les chambres à gaz (mes parents, et moi aussi, avons réchappé du camp de concentration français de gürs ...)......... mort aux français, honte sur vous peuple aphasique alzheimerizé jusqu'à la moelle ..... ... .... .... .... .... .... ..... .... .............................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................
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PS/à titre d'information
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`2. NOTICE EXPLIcATIVE BANALE
Le camp de Gurs est un camp de réfugiés construit en France à Gurs1 près d'Oloron-Sainte-Marie dans les Basses-Pyrénées (actuellement Pyrénées-Atlantiques) par le gouvernement d'Édouard Daladier entre le 15 mars et le 25 avril 1939 pour accueillir d'anciens combattants républicains de la Guerre civile espagnole après la prise de pouvoir du général Franco.
Au début de la Seconde Guerre mondiale, le même gouvernement y interna des citoyens étrangers ressortissants des pays en guerre contre la France ainsi que des militants du Parti communiste français, favorable au Pacte germano-soviétique.
Camp de Gurs - Îlot
Après l'armistice du 22 juin 1940, signé avec l'Allemagne par le Gouvernement français de Pétain, le camp fut utilisé comme camp d'internement mixte pour accueillir des juifs de toutes nationalités – sauf français – capturés et déportés par le régime nazi dans des pays sous son contrôle (Allemagne, Autriche, Belgique, Pays-Bas)2. Près de 4 000 juifs furent transférés au camp de Drancy, entre le 6 août 1942 et le 3 mars 1943, puis en Pologne au camp d'Auschwitz où ils furent presque tous exécutés.
Au cours de la guerre, le camp reçoit en plus des personnes qui avaient traversé la limite avec la zone occupée par les Allemands, des Espagnols qui avaient déjà été détenus au camp et qui, libérés à l’automne 1940, se trouvaient dans la région sans justifier d’emploi, des Espagnols en provenance d’autres camps fermés en raison des conditions de vie ou du faible nombre de détenus, des apatrides, des gitans, certains prisonniers de droit commun en attente de jugement (prostitution, marché noir, faux papiers, etc.).
Après la Libération de la France, et avant sa fermeture définitive en 1946, y furent brièvement internés des prisonniers de guerre allemands, des français ayant collaboré avec les Allemands et des combattants espagnols qui avaient pris part à la Résistance, mais que leur volonté de mettre fin à la dictature de Franco rendait dangereux aux yeux des Alliés.
Environ 64 000 personnes y ont été internées, et 1 072 y sont mortes, entre sa création en mars 1939 et sa fermeture à la fin de la guerre en août 1944.