samedi 21 septembre 2013
nazem al ghazali (elle me donne des cheveux blancs)
le plus grand chanteur irakien dans une boite de nuit en irak (1963)
skorecki va au cinéma ...
... eh oui, et deux fois en trois jours, mais qu'est-ce qui m'arrive? j'ai d'abord été voir tirez la langue mademoiselle, une douce aventure amoureuse à la lubistch ... mon dieu qu'est-ce qui m'arrive? j'ai bien écrit "à la lubistch", non? comme si c'était encore possible ... comme si mademoiselle ropert, se chaussant d'ailes de velours, savait, elle, retrouver la formule sucrée-salée du vicieux viennois ... comment fait-elle axelle? disons qu'elle fait comme l'ami brisseau: elle croit en ce qu'elle filme, elle croit -et pas seulement au premier degré- dans les pouvoirs intacts du cinéma ... peut-être est-elle aidée d'une voyante, une sorte de madame pierre rissient, c'est possible, je ne sais pas ... disons surtout qu'elle prend son temps, vite et lentement à la fois, en ne perdant jamais de vue l'idée bien oubliée que les histoires d'amour commencent à la fois dans les yeux et dans le pantalon ... c'est tout? eh oui, j'ai bien peur que cette histoire de dim sum mélo trouve là son réservoir amoureux, là et nulle part ailleurs ... et ça suffit? j'ai bien peur que oui ...
... l'autre film, je voulais vérifier qu'il était horriblement mauvais, et il l'est, horrible et mauvais ... c'est une crise de nerf documentaire, la pire indigestion de cassavettes/pialat/lelouch jamais administrée au public français consentant ... je vous fais grâce du titre ... trouvez-le ...
... l'autre film, je voulais vérifier qu'il était horriblement mauvais, et il l'est, horrible et mauvais ... c'est une crise de nerf documentaire, la pire indigestion de cassavettes/pialat/lelouch jamais administrée au public français consentant ... je vous fais grâce du titre ... trouvez-le ...
vendredi 20 septembre 2013
richard manuel, quelques semaines avant son suicide
dimanche 15 septembre 2013
samedi 14 septembre 2013
vendredi 13 septembre 2013
In a soldier’s stance, I aimed my hand/At the mongrel dogs who teach/Fearing not that I’d become my enemy/In the instant that I preach
Crimson flames tied through my ears
Rollin’ high and mighty traps
Pounced with fire on flaming roads
Using ideas as my maps
“We’ll meet on edges, soon,” said I
Proud ’neath heated brow
Ah, but I was so much older then
I’m younger than that now
Half-wracked prejudice leaped forth
“Rip down all hate,” I screamed
Lies that life is black and white
Spoke from my skull. I dreamed
Romantic facts of musketeers
Foundationed deep, somehow
Ah, but I was so much older then
I’m younger than that now
Girls’ faces formed the forward path
From phony jealousy
To memorizing politics
Of ancient history
Flung down by corpse evangelists
Unthought of, though, somehow
Ah, but I was so much older then
I’m younger than that now
A self-ordained professor’s tongue
Too serious to fool
Spouted out that liberty
Is just equality in school
“Equality,” I spoke the word
As if a wedding vow
Ah, but I was so much older then
I’m younger than that now
In a soldier’s stance, I aimed my hand
At the mongrel dogs who teach
Fearing not that I’d become my enemy
In the instant that I preach
My pathway led by confusion boats
Mutiny from stern to bow
Ah, but I was so much older then
I’m younger than that now
Yes, my guard stood hard when abstract threats
Too noble to neglect
Deceived me into thinking
I had something to protect
Good and bad, I define these terms
Quite clear, no doubt, somehow
Ah, but I was so much older then
I’m younger than that now
mercredi 28 août 2013
d'où vient le juif de lascaux (2013)
voici un extrait photo/filmé médiocre sensible
/la version définitive, LE JUIF DE LASCAUX, s'est tournée du 15 au 18 août 2013 à paris
FIN DU TOURNAGE DU JUIF DE LASCAUX/ musiques du film
...
music for LE JUIF DE LASCAUX will be played and sung by gilles tordjman, didier hébert and probably ti frère ... .... didier hébert was a blind guitarist from louisiana, who accompanied the accordeon player dewey segura on four sides for columbia records ... on one recording session (december 10, 1929), he sang this strange conversational song ...
mardi 27 août 2013
mardi 20 août 2013
au cinéma mieux vaut douter de tout
vu HORS SATAN sur CLUB sans savoir ce que c'était .... et j'ai été troublé, énervé, déboussolé ...
c'était la nuit, c'était presque très beau ... on aura tout vu ...
mercredi 14 août 2013
LE JUIF DE LASCAUX CHANTE COMME çA ... mais il n'y aura pour une fois pas de musique juive chez SKORECKI
....... ..... ..... ..... .... .... Rabbi and Cantor Hyman Millman was born in Britchane, Bessarabia, on the last day of Passover, in 1893. His father was a great Rabbi, and soifer, whose name was Itzchock, the son of Moshe Soifer Millman.
Cantor Chaim Millman received a thorough education under the training of Rabbi Yehudah Rabinowitz, Rabbi Moshe Ratzes, Rabbi Barshefsky, and also his brother-in-law Rabbi Moshe Berman, a cousin of Rabbi Yehudah Leib Mimon. When Cantor Millman was a young boy he was a student at the Kishinev Yeshivah. He first became Cantoir in Kishinev .... DR. Meyer Ebner, leader of the Zionist Organization of Bukovnia, came to Chotin and hired him for the Tombeale Synagogue. When Rabbi and Cantor Millman arrived in the United States, he sang in the great synagogues of New York City, Boston Philadelphia, Newark, Cleveland, Chicago, as well as in Montreal and Toronto.
skorecki devient producteur (juillet 2012/ juillet 2013)
... .... .... .... .... .... .... .... .... .... .... 1. 1. 1111 skorecki s'éloignant des cinéphiles.
skorecki et son deuxième psy (marc quattro)des cinéphiles
2. skorecki et son deuxième psy (marc quattro),... ... ... ... ... ... .... .... .... .... .... ...
........skorecki et son deuxième psy (marc quattro)des cinéphiles
2. skorecki et son deuxième psy (marc quattro),... ... ... ... ... ... .... .... .... .... .... ...
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la projection du 16 juillet de SKORECKI DEVIENT PRODUCTEUR, s'est bien passée ... on en trouvera bientôt ici des échos, mondains ou immondes, des lettres, des mails, des témoignages. MERCI à CHRISTOPHE et NINO.
mardi 13 août 2013
nadam al ghazali (irakian singer, died 1963 in Iraq), best arabic voice ever recorded
and his wife, famous jewish iraquian singer Salima Murad (Arabic,سليمة مراد)
mercredi 7 août 2013
I Don't Believe You (She Acts Like We Never Have Met) 1997 + i"m not there
best voices ever in irak and in the arab world _et au delà
بارك الله في جهودكم على ايصال هذه التسجيلات العراقية الواضحة لأغاني ناظم الغزالي , الرحمة و السلام على روحه
mardi 6 août 2013
lundi 5 août 2013
Joel Teitelbaum, né le 13 janvier 1871 à Máramarossziget et décédé le 19 août 1979 à New York2,3, était un Grand-Rabbin hassidique hongrois, fondateur de la dynastie hassidique de Satmar.
Les grands maîtres du hassidisme: Yisroel Baal Shem Tov (1698-1760), fondateur du hassidisme son disciple, Rabbi Dov Baer de Mezeritch(1710-1772), le Maguid de Mezritch son disciple, Rabbi Elimelekh de Lizhensk (1717-1786), Le Noam Elimelekh son disciple, Rabbi Yaakov Yitzchak Horowitz(1745-1815), le Hozeh de Lublin .
..... et le Rabbi Yoel Rabbi Joël Teitelbaum (1887-1979), Satmar Rebbe, auteur de Divrei Yoël et VaYoel Moshe .....
Joel Teitelbaum rabbin de Irchava en Ukraine puis appelé au rabbinat de Carei en Roumanie, avant de s'installer en 1929 à Szatmárnémeti où il crée et dirige la communauté hassidique de Satmar. Durant la Shoah, bien que le mouvement n'ait pas été complètement anéanti, beaucoup de hassidim Satmar sont assassinés et déportés durant la Seconde Guerre mondiale. À l'arrivée des nazis, les membres de la communauté organisent le déplacement de leur rabbi vers Cluj-Napoca, où il est arrêté et transféré dans un ghetto.
En juin 1944, Rudolf Kastner négocie avec les SS l'autorisation pour 1 684 Juifs de quitter la Hongrie pour la Suisse, en échange d'argent, d'or et de diamants, dans ce qui sera appelé le "train de Kastner". Yoel Teitelbaum est un des passagers de ce train, qui est dérouté vers Bergen-Belsen pendant six mois avant d'être autorisé à continuer jusqu'à la frontière suisse, comme prévu initialement. Le 21 Kislev 5705 (1944), le jour où le rabbin Teitelbaum traverse la frontière suisse et échappe aux nazis, est célébré comme un jour férié par les Hassidim de Satmar.
Après la guerre, le rabbin Teitelbaum séjourne quelque temps dans le camp de personnes déplacées de Feldafing (Arrondissement de Starnberg). Le sauvetage de Joel Teteilbaum est sujet à controverse. En effet, les sionistes lui reprochent d'avoir accepté d'être épargné alors que sa communauté mourait dans les camps et les groupes anti-sionistes lui reprochent de s'être allié aux sionistes dans ce sauvetage. Le Rabbi a, quant à lui, écrit une revue Al hagueoula veal Atemoura (Sur la Rédemption et sur la Donation), dans laquelle il répond à ces accusations. En 1945, Joël Teitelbaum monte en Palestine alors sous mandat britannique. Il séjourne à Jérusalem où il fonde une yeshiva.
Fin 1946, il collecte des fonds aux États-Unis, où il rencontre les membres de son ancienne communauté qui ont survécu à la Shoah. Ceux-ci le convainquent de s'installer aux États-Unis. En quelques années, Teitelbaum transforme sa petite communauté en un mouvement mondial dont le siège est à Williamsburg, New York. Dans les années 1970, Kiryas Joel, un village dans le comté d'Orange, New York, est créé pour les adeptes du mouvement.
L'opposition de Satmar à l'État d'Israël est fondée sur leur conviction que la création d'un État juif par les Juifs est un blasphème. Ils croient que les Juifs doivent attendre que Dieu envoie le Messie pour que le peuple juifs puissent retourner en terre d'Israël.
Son opposition au sionisme moderne est celle des trois serments mentionnés dans le Talmud (Ketoubot 110b-111a), qui traite d'un passage du Cantique des Cantiques, dans laquelle Dieu a fait les Israélites "promesse de l'attendre avant de susciter son amour"
Quels sont ces trois serments? Un, qu'Israël ne devrait pas monter en muraille Rachi interprète: avec force]. Deux, le Saint-béni-soit-Il a fait jurer à Israël de ne pas se rebeller contre les nations du monde. Trois, le Saint-béni-soit-Il a fait jurer aux nations de ne pas opprimer Israël trop durement. Le Midrash est en grande partie une analyse exégétique de trois versets séparés du Cantique des Cantiques (2:7, 3:5 & 8:4), et reflète naturellement l'interprétation traditionnelle, qui considère le livre entier comme une allégorie de la relation entre Dieu et le peuple juif : הִשְׁבַּעְתִּי אֶתְכֶם בְּנוֹת יְרוּשָׁלַיִם בִּצְבָאוֹת, אוֹ בְּאַיְלוֹת הַשָּׂדֶה, אִם-תָּעִירוּ וְאִם-תְּעוֹרְרוּ אֶת-הָאַהֲבָה, עַד שֶׁתֶּחְפָּץ ה הִשְׁבַּעְתִּי אֶתְכֶם בְּנוֹת יְרוּשָׁלַיִם בִּצְבָאוֹת, אוֹ בְּאַיְלוֹת הַשָּׂדֶה, אִם-תָּעִירוּ וְאִם-תְּעוֹרְרוּ אֶת-הָאַהֲבָה, עַד שֶׁתֶּחְפָּץ הִשְׁבַּעְתִּי אֶתְכֶם בְּנוֹת יְרוּשָׁלַיִם, מַה-תָּעִירוּ וּמַה-תְּעֹרְרוּ אֶת-הָאַהֲבָה, עַד שֶׁתֶּחְפָּץ Je vous en conjure, ô filles de Jérusalem, par les biches et les gazelles des champs: n'éveillez pas, ne provoquez pas l'amour, avant qu'il le veuille. Je vous en conjure, ô filles de Jérusalem, par les biches ou les gazelles des champs: n'éveillez pas, ne provoquez pas l'amour, avant qu'il le veuille! Je vous conjure, filles de Jérusalem, n'éveillez pas, ne provoquez pas l'amour avant qu'il le veuille.
Le Rabbi de Satmar soutient que Maïmonide a parlé des trois serments comme contraignants: Les serments sont entre le peuple juif et Dieu, et les gentils, et Dieu, respectivement. Le fait que les gentils violent leur serment ne signifie implicitement que le peuple juif soit libre de le violer. Vivre en Eretz Israel n'est pas une mitsva générale pour la collectivité, mais uniquement sur l'individu.
samedi 3 août 2013
jeudi 1 août 2013
mercredi 24 juillet 2013
vendredi 12 juillet 2013
dimanche 7 juillet 2013
dylan 1975
i can hear the turning of the key/i’ve been deceived by the clown inside of me/ i thought that he was righteous but he’s vain/ oh, something’s a-telling me/ i wear the ball and chain/ my patron saint is a-fighting with a ghost/ he’s always off somewhere when I need him most/ the spanish moon is rising on the hill/ but my heart is a-tellin’ me/ i love ya still/ i come back to the town from the flaming moon/ i see you in the streets, i begin to swoon/ i love to see you dress before the mirror/ won’t you let me in your room one time ’fore I finally disappear? everybody’s wearing a disguise/ to hide what they’ve got left behind their eyes/ but me, i can’t cover what I am/ wherever the children go, i’ll follow them/ i march in the parade of liberty/ but as long as i love you i’m not free/ how long must i suffer such abuse/ won’t you let me see you smile one time before I turn you loose?/ i’ve given up the game, i’ve got to leave/ the pot of gold is only make-believe/ the treasure can’t be found by men who search/ whose gods are dead and whose queens are in the church/ we sat in an empty theater and we kissed I asked ya please to cross me off-a your list/ my head tells me it’s time to make a change/ but my heart is telling me I love ya but you’re strange/ one more time at midnight, near the wall/ take off your heavy makeup and your shawl/ won’t you descend from the throne, from where you sit?/ let me feel your love one more time before I abandon it ...
dedicated to bobby vee/bob dylan, st paul, 10 juillet 2013
vendredi 7 juin 2013
fifty years before: dylan 1963
well it ain't no use to sit and wonder why, babe/even if you don't know by now/an' it ain't no use to sit and wonder why, babe/it don't matter anyhow/ babe/when your rooster crows at the break of dawn/look out your window and I'll be gone/you're the reason I'm trav'lin' on/but don't think twice, it's all right/an' it ain't no use in turnin' on your light, babe/that light i never knowed/an' it ain't no use in turnin' on your light, babe/i'm on the dark side of the road/still wish there was somethin' you would do or say/to try and make me change my mind and stay/we never did too much talkin' anyway/so don't think twice, it's all right/it ain't no use in callin' out my name, gal/like you never did before/it ain't no use in callin' out my name, gal/i can't hear you anymore/i'm a-thinkin' and a-wond'rin' all the way down the road/i once loved a woman, a child i'm told/i give her my heart but she wanted my soul/but don't think twice, it's all right/i'm walkin' down that long, lonesome road, babe/where I'm bound, i can't tell/but goodbye's too good a word, gal/so i'll just say fare thee well/ iain't sayin' you treated me unkind/you could have done better but i don't mind/you just kinda wasted my precious time/but don't think twice, it's all right
dylan 1975
i can hear the turning of the key/i’ve been deceived by the clown inside of me/ i thought that he was righteous but he’s vain/ oh, something’s a-telling me/ i wear the ball and chain/ my patron saint is a-fighting with a ghost/ he’s always off somewhere when I need him most/ the spanish moon is rising on the hill/ but my heart is a-tellin’ me/ i love ya still/ i come back to the town from the flaming moon/ i see you in the streets, i begin to swoon/ i love to see you dress before the mirror/ won’t you let me in your room one time ’fore I finally disappear? everybody’s wearing a disguise/ to hide what they’ve got left behind their eyes/ but me, i can’t cover what I am/ wherever the children go, i’ll follow them/ i march in the parade of liberty/ but as long as i love you i’m not free/ how long must i suffer such abuse/ won’t you let me see you smile one time before I turn you loose?/ i’ve given up the game, i’ve got to leave/ the pot of gold is only make-believe/ the treasure can’t be found by men who search/ whose gods are dead and whose queens are in the church/ we sat in an empty theater and we kissed I asked ya please to cross me off-a your list/ my head tells me it’s time to make a change/ but my heart is telling me I love ya but you’re strange/ one more time at midnight, near the wall/ take off your heavy makeup and your shawl/ won’t you descend from the throne, from where you sit?/ let me feel your love one more time before I abandon it ...
dylan sings leonard cohen (1987)
leonard: about three, four years i think ... and what about you, bob, how long did it take you to write SAD EYED LADY OF THE LOWLANDS? .......
bob: huh, two , three hours i guess ...
lundi 3 juin 2013
bailes bros 1943/better than louvin brothers?
.... .... .... .... ..... ..... ....
the year i was born, the bailes brothers would record THAT .... very close to the sound the everly bros would try to reach fifteen years after ..(their version was recorded in 1958).
lundi 27 mai 2013
cantor aryeh leib rutman 1919 (jewish gospel at its best)
youtube 2013 / la musique de skorecki7
pour ceux qui aiment entendre les rares dhrupads des frères dagar, les plus beaux dylan pirates, des trésors country pas encore découverts, des disques rock ou soul introuvables, des 78 tours à pleurer des plus grands cantors de pologne ou d'ukraine, c'est l'endroit où fouiner ... où on peut discuter avec des fous de musique du monde entier (cliquer skorecki7 sur youtube) ...
cantor meyer kanewsky (1913)
cent ans avant SKORECKI DEMENAGE, meyer kanewsky essayait de chanter comme mon père ... dois-je encore en pleurer? pas sûr ... mais on ne commande pas ses larmes, n'est-ce pas?
skorecki 1974/eugénie de franval (d'après sade)
edf (1974)/capture dans la salle avec appareil photo
duras aimera beaucoup ce film, noguez aussi ... je me souviens m'y être masturbé trois fois de suite (trois prises d'une réelle éjaculation, on a gardé la troisième) devant une fillette d'un an et demi dont marguerite duras a cru voir le sexe offert aux regards (elle n'arrêtait pas de croiser et de décroiser ses petites jambes) ...
scarlet town/mai 2013
bob dylan à la bougie/nouvelle voix, nouveaux arrangements, nouvelle douceur ...
dylan 1963/première version de don't think twice it's alright
... .... .... .... .... la chanson qui m'a fait découvrir (et aimer) dylan l'été 1963 à new york sur the freewheelin' bob dylan .... en 1962 j'avais écouté et détesté (trop étrange) son premier disque nasillard, à new york aussi ...
pascal cervo 2013 (monsieur lapin)
vu samedi (le 1er juin) le nouveau film émouvant et rigolo réalisé par pascal cervo, monsieur lapin ... en une petite quarantaine de minutes, on retrouve avec une grande fraîcheur et une belle modestie discrète les qualités mystérieuses et obliques du cinéma de jean-claude biette ... le rire succède à l'énigme, jamais résolue, toujours mise en attente ... on ne sait pas où on va mais on y va avec un plaisir sans cesse renouvelé ... il y aussi un sens des durées proprement straubien ... le premier festival à le sélectionner rendra un service au cinéma, ou ce qui est reste ...
samedi 25 mai 2013
lundi 20 mai 2013
dylan 2009/sugar baby (amsterdam)
unusual version of sugar baby, from love and theft/2001, best dylan album of the last forty years
dimanche 19 mai 2013
dimanche 12 mai 2013
une des plus belles choses au monde ...
.... .... .... ..... .... .... .... .... al hibbler et hank jones (1982)... le dernier disque de al hibbler ...
lundi 1 avril 2013
jeudi 7 mars 2013
bob dylan and sam peckinpah, as told by rudy wurlitzer
Bob Dylan came to see me and said, "you know I think I was the reincarnation of Billy the Kid". And I said, "really? That’s interesting". And he said, y"eah. Is there any way I can be in that film"? So I called the producer and I said, "listen, Bob Dylan wants to be in the film" and I wrote him a part really off the cuff.
Then I took Dylan down to Durango to meet Peckinpah. It was night when Dylan and I got off the plane and we caught a cab to the house Sam had outside of town. When we got there, there was a shot, and this maid ran out of the house screaming. Dylan was freaked! So I thought, oh man, we’re going to blow the whole thing. We went up to the house, opened the door and it was all dark, just a light upstairs. So I called, "Sam, are you up there? Anyone up there? What’s going on?" No answer. We crept up the stairs and Dylan was behind me — we go down the hall where Sam’s bedroom was, I slowly opened the door and Peckinpah is standing in front of a full length mirror completely naked. He has a pistol in his hand and he had shot his own image in the full length mirror. I turned to Sam, and I said, "Sam, I don’t know if you know it, but this is Bob Dylan, he’s going to be in the film, I wrote him a part." Sam paused and turned to Dylan and said, "I’m a big Roger Miller fan myself."
-- Rudy Wurlitzer
lundi 25 février 2013
dimanche 24 février 2013
vendredi 1 février 2013
jeudi 31 janvier 2013
the ballad of frankie lee and judas priest
meilleure année (2000), meilleure version de ce qui reste sans doute la plus belle chanson de dylan
superbe version velvetienne de queen jane, approximativement (berlin, 1996)
..... une autre très belle interprétation sous influence lou reed (it's all over now, baby blue)
jeudi 17 janvier 2013
yiddish blues or string band rap?
boibriker kapelle (1927), dave tarras, clarinet, abe schwartz, violin
mercredi 16 janvier 2013
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