samedi 15 septembre 2007

en souvenir de bob wills

1. les stones rendent un hommage à bob wills (la chanson est de waylon jennings), austin, 2006

2. les texas playboys (merle haggard au violon, et à la voix)

3. bob wills, ses texas playboys, et son chanteur, leon mc auliffe, dans WYOMING HURRICANE (1944)


BONUS/CINDY WALKER
willie nelson chante une célèbre chanson de cindy walker, you don't know me

webb pierce interprète une autre chanson de cindy walker, i don't care`

trois rares apparitions de cindy walker, avant qu'elle n'abandonne le métier pour devenir, avec willie nelson (qu'elle a beaucoup influencé et qui lui a dédié, quelques mois avant sa mort, un disque entier, CLOSE TO YOU, the songs of cindy walker), le plus grand auteur de chansons du texas.


LES DEUX PLUS GRANDES CHANTEUSES COUNTRY

1.

KITTY WELLS chante i don't claim to be an angel (JE NE PRETEND PAS ETRE UN ANGE)
2.

PATSY CLINE chante crazy, l'une des plus belles chansons que willie nelson ait jamais composées.
écouter CRAZY, the demo sessions (sugarhill), avec la version sublime de WILLIE NELSON, celle que HANK COCHRAN fit écouter à PATSY CLINE, qui l'enregistra.

laurent achard, pascal cervo, will oldham ...


les bonus
1. cary grant/irene dunne

2. john wayne/maureen o'hara

3. lilian gish/robert mitchum


4. SUPER BONUS
AVA GARDNER CHANTE, pas pour sinatra,mais pour son grand rival, DICK HAYMES
(avec robert walker, le partenaire d'ava gardner, et olga san juan, la partenaire de dick haymes)

PS. c'est un gag évidemment, ava gardner est doublée (par eileen wilson)

ramblin' jack elliott, howe gelb, le spectre de woody ghuthrie?

d'où vient dylan? où est son âme? tout est là.


ARIZONA/TEXAS
DES NOUVELLES DE HOWE GELB
1.

SHE TOWERS ABOVE (2004), hommage à alejandro escovedo
2.

une chanson tirée de UPSIDE DOWN HOME, 2007/return to san pedro, une merveille lo fi à commander chez l'auteur (howegelb.com).
3.

HOWE GELB en 1994 avec RAINER PTACEK (giantsand)

vendredi 14 septembre 2007

max romeo and the hippie boys (clap clap)

loin du cinéma (1)
pourquoi des films? pour qui?
pourquoi quelqu'un comme moi qui n'aime plus le cinéma depuis vingt ans, qui l'a même en horreur, ferait-il des films?
c'est ce que je me demande depuis un mois, depuis mon retour de locarno précisément...
je savais que je détestais les festivals, et j'avais en plus de mauvais souvenirs de locarno, pourquoi y suis-je allé, qu'allais-je faire dans cette galère: du tourisme culturel, comme les autres?
que faisait LE RETOUR DES CINEPHILES dans cette galère? de la figuration? je ne sais pas, je ne sais plus, j'ai oublié.
et LES FILMS D'OCCASION, ils deviennent quoi, au fait?

the heptones (i shall be released)

jeudi 13 septembre 2007

loin du cinéma (2)

revoir le retour des cinéphiles ne m'excitait plus -est-ce que ce n'était déjà plus mon film?
produire LA PIMBECHE A VELO, le joli projet de nathanaelle, oui mais comment?
le fait que christophe, april march, bertrand burgalat, aient accepté d'y interpéter des nouvelles chansons spécialement écrites pour le film ne m'aide pas -ne m'aide plus.
être producteur, quelle drôle d'idée, skorecki (tu t'es regardé dans la glace?)
terminer SKORECKI DEMENAGE (qui est presque fini) ne m'amuse plus.

à l'enthousiasme de mes débuts annoncés comme producteur a succèdé, lentement mais sûrement, une sorte de dégoût, comme si mon projet n'était pas -n'était plus- le mien.
faire des films pour la télévision (atypiques, aériens, rapides, modestes, élégants, rigolos, et surtout radicalement non-professionnels), oui, mais pour qui? qui regarderait ça, là bas, derrière l'écran? et surtout, est-ce je suis l'homme de la situation, celui qui sait (pourquoi et) comment faire ça, comment bricoler ça, comment cuisiner ça?
comment refuser le statut de producteur tout en assumant celui de producteur-bis?
comment assumer la fonction de producteur tout en la refusant, en étant une fois pour toutes HORS DU CINEMA, puisque tel est mon choix?

en voyant que christophe honoré (merci paulo branco) tournait à toute vitesse, que la petite le besco tournait en deux semaines, etc, etc, etc, je me suis dit que mon projet était tombé dans le domaine public et que j'aurais dû aller encore plus vite -mais comment aller plus vite que vite? plus vite que la lumière?
foncer dans le mur ou ralentir?
le dégoût du cinéma l'emporte, pour le moment, j'ai décidé de ralentir.

d'où vient l'idée de I'M NOT THERE?

DYLAN: we could make a movie and you could be bob dylan, it would'nt matter.
ROSENBAUM: but if there are two bob dylans in the film and renaldo is always changing ...
DYLAN: well, it could be worse, it could be three or four.
PLAYBOY, mars 1978)

loin du cinéma (1)

pourquoi des films? pour qui?
pourquoi quelqu'un comme moi qui n'aime plus le cinéma depuis vingt ans, qui l'a même en horreur, ferait-il des films?
c'est ce que je me demande depuis un mois, depuis mon retour de locarno précisément...
je savais que je détestais les festivals, et j'avais en plus de mauvais souvenirs de locarno, pourquoi y suis-je allé, qu'allais-je faire dans cette galère: du tourisme culturel, comme les autres?
que faisait LE RETOUR DES CINEPHILES dans cette galère? de la figuration? je ne sais pas, je ne sais plus, j'ai oublié.
et LES FILMS D'OCCASION, ils deviennent quoi, au fait?

mercredi 12 septembre 2007

mardi 11 septembre 2007

the ballad of frankie lee and judas priest (la plus belle chanson de dylan)

la VO

cardiff, 2000

locarno 1987 (the epiphany show, quand il a retrouvé sa voix)

une version récente décente (alabama 3)

" invraisemblable ou pas, crois-moi, c'est la vérité -et il n'y en a pas deux ..."