samedi 9 août 2008

deux ou trois chansons de toute beauté, inattendues, fragiles, tendues, d'un bob dylan inédit



bob dylan/went to see the gypsy (1970), version alternative terriblement plus belle que celle sortie sur new morning (les peintures sont de dylan)

bob dylan/soon ...listen to dylan's voice/his singing voice (enfin une copie de bonne qualité de l'une des plus étranges chansons de gershwin, interprétée en mars 1987 à un gala ... par un dylan qui essaye pour une fois, la seule fois peut-être de sa vie, de "chanter")

bob dylan/ une chanson de johnny cash ... pour johnny cash, sublimement chantée, à la charlot, en 2003, année de concerts horribles à la pelle '(j'étais le 17 et le 18 octobe 2003 aux docks, à hambourg, il n'y avait pas plus de 1700 personnes chaque soir, et c'était pourtant terrifiant de nullité et d'incantations monotones)
two of the greatest yodelers (les films d'occasion production)

cliff carlisle/blue yodel n° 6 (1930)/red river dave/daddy and home (1940), deux très belles compositions du héros de dylan, jimmie rodgers
l'émission radio s'appelle the health and happiness show , on est en 1949, et c'est un certain hank williams qui chante (pas clint eastwood, notez-bien, petits étourdis , mais hank williams)


hank williams/i'm so lonesome i could cry (live radio, 1949)
ethel waters dont l'image s'est déformée à travers le temps (josephine baker ...fat bluesy mama...black pathos) a d'abord été l'une des premières crooneuses noires, et une influence majeure sur trois des plus grandes chanteuses blanches: mildred bailey, connee boswell, et surtout lee wiley qui l'a toujours citée comme son modèle ....

ethel waters/you're a sweetheart (1938)

lee wiley/you're a sweetheart (1958) ... from west of the moon, her best album....
BONUS. a young lee wiley sings.... the very same song ... with her thin young voice ....

lee wiley / you're a sweetheart (+  born to dream  ,radio, 1936)

" invraisemblable ou pas, crois-moi, c'est la vérité -et il n'y en a pas deux ..."