En revoyant ces quelques images des Carabiniers, ça m'a fait beaucoup penser à votre Escalier de la haine : l'avion du début, la neige, ces personnages venus de nulle part dont on ne sait rien et auxquels on s'attache pourtant, cette façon d'aborder les choses de manière à la fois frontale et distanciée, l'absence de toute psychologie. Deux films, en somme, qui ne "ressemblent à rien", ce qui fait tout leur charme.
La comparaison entre ces deux films ne reposait finalement que sur le climat, au sens météorologique du terme (la neige, le froid, l'humidité, l'inconfort). Comme je n'ai toujours pas vu Derzou Ouzala (la cassette video est là, sur une étagère, parmi quelques autres, qui attendent d'être vues, qui ne le seront peut-être jamais) je ne pourrais en dire plus. Si ce n'est que j'ai un grand souvenir de "L'Escalier" et de notre rencontre à Belfort.
3 commentaires:
En revoyant ces quelques images des Carabiniers, ça m'a fait beaucoup penser à votre Escalier de la haine : l'avion du début, la neige, ces personnages venus de nulle part dont on ne sait rien et auxquels on s'attache pourtant, cette façon d'aborder les choses de manière à la fois frontale et distanciée, l'absence de toute psychologie. Deux films, en somme, qui ne "ressemblent à rien", ce qui fait tout leur charme.
je crois qu'il n'y a pas deux films plus dissemblables ... mais la comparaison m'a fait plaisir, vraiment
La comparaison entre ces deux films ne reposait finalement que sur le climat, au sens météorologique du terme (la neige, le froid, l'humidité, l'inconfort). Comme je n'ai toujours pas vu Derzou Ouzala (la cassette video est là, sur une étagère, parmi quelques autres, qui attendent d'être vues, qui ne le seront peut-être jamais) je ne pourrais en dire plus. Si ce n'est que j'ai un grand souvenir de "L'Escalier" et de notre rencontre à Belfort.
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