edf (1974)/capture dans la salle avec appareil photo
duras aimera beaucoup ce film, noguez aussi ... je me souviens m'y être masturbé trois fois de suite (trois prises d'une réelle éjaculation, on a gardé la troisième) devant une fillette d'un an et demi dont marguerite duras a cru voir le sexe offert aux regards (elle n'arrêtait pas de croiser et de décroiser ses petites jambes) ...
2 commentaires:
j'ai un souvenir très fort de votre Eugénie de Franval, vu un week end à la cinémathèque (Grands boulevards).
Je crois que c'"tait un spécial "Sade au cinéma", et que Jess Franco était (évidemment aussi de la partie). Je ne savais pas que c'était "par nécessité financière" que cette juxtaposition de deux rythmes s'était faite, mais le résultat m'avait immédiatement marqué.
m'suis mal exprimé, s'cusez moi ...le projet edf était dès le départ fondé sur une dichotomie image/son, ce que j'ai mal expliqué dans les qq lignes qui précèdent, c'est que par manque d'argent , il s'est écoulé une année entre la réalisation de la bande-image et celle de la bande-son ... (c'était un production du g.r.e.c, d'habitude on faisait juste un court métrage de 20 minutes fauché avec ce qu'ils donnaient, moi j'ai réussi à livrer 1h45, avec musique en plus ... imaginez les conditions de tournage ...)
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