toujours à côté de la plaque, le gentil petit fantôme a décidé de parler de Bécaud (pas de Sinatra ni de Dylan ni de Peggy Lee, etc.). Pas grand chose à dire du reste, juste un souvenir à évoquer, un souvenir ému du beau portrait que vous aviez fait de lui dans Libé (pas aussi beau, le portrait, que celui de Robert Frank, mais quand même, suffisamment fort pour décider un gentil couillon à abandonner ses complexes et à oser dire Bécaud c'est de la bombe). De portrait en portrait, j'en suis venu à rêver de celui que vous auriez fait de Jean Richard. Est-ce utile de préciser que c'était sublime ?
j'écoute peu bécaud mais quand je pense à lui, j'ai des frissons: c'était un grand monsieur, d'une élégance et d'un génie mélodique qui ont toujours manqué à aznavour, et d'un mauvais goût musical partfois que seuls les très grands (sinatra, peggy lee) se sont payés le luxe ou le culot d'avoir .... des frissons aussi pour monsieur jean richard, qui continuait ses si beaux maigret en souffrant le martyre, à moitié paralysé, topujours d'une dignité exemplaire ... vous tombez juste sur le "portrait que j'aurais pu faire de jr", si libé ne m'avait pas jeté dehors ... avec un mois d'avance: m'empêchant de publier sept ou huit chroniqurs déjà écrites, et de finir par où je voulais finir: trois chroniques de suite sur un maigret avec jean richard ... si je me souviens bien, c'était ... la nuit du carrefour ....
Louis, pourquoi vous les publieriez pas ici, sur votre blog, ces dernières chroniques ? Si vous trouvez que c'est pas une bonne idée, n'en parlons plus. Sinon...
it's old stuff, ce sont des vieilleries maintenant ... je vous disais ça seulement pour vous montrer que, coïncidence ou pas, vous aviez vu juste pour jean richard ... sur lequel précisément je n'avais pas encore écrit .... de toute façon, merci pour votre extrême attention, on a besoin de fantômes pour mieux mordre au réel, non?
Oh, je sais pas si j'ai vu juste. J'ai seulement été touché par ces mots d'une de vos chroniques passées : "Jean Richard, je l'aime d'amour". C'est bête à dire mais ça m'avait ému au-delà du raisonnable. Pour tout vous dire, j'étais même prêt à vous suivre à fond la caisse dans cette idée pour le moins inédite que les Maigret avec Jean Richard étaient aussi beaux que des Murnau. C'était hier. J'attends maintenant avec impatience de voir "Skorecki déménage" et "Le retour des cinéphiles"? C'est pour quand ?
Oh, je sais pas si j'avais vu juste. J'avais surtout été ému au-delà du raisonnable par ces mots d'une de vos chroniques : "Jean Richard, je l'aime d'amour". J'étais même prêt à vous suivre à fond dans cette idée assez insolite que les Maigret avec Jean Richard étaient aussi beaux que des Murnau. Tout ça c'est des vieilleries mais comment s'en passer ? En regardant "Skorecki déménage" et "Le retour des cinéphiles" ? Sans doute, mais où et quand ?
6 commentaires:
toujours à côté de la plaque, le gentil petit fantôme a décidé de parler de Bécaud (pas de Sinatra ni de Dylan ni de Peggy Lee, etc.). Pas grand chose à dire du reste, juste un souvenir à évoquer, un souvenir ému du beau portrait que vous aviez fait de lui dans Libé (pas aussi beau, le portrait, que celui de Robert Frank, mais quand même, suffisamment fort pour décider un gentil couillon à abandonner ses complexes et à oser dire Bécaud c'est de la bombe). De portrait en portrait, j'en suis venu à rêver de celui que vous auriez fait de Jean Richard. Est-ce utile de préciser que c'était sublime ?
j'écoute peu bécaud mais quand je pense à lui, j'ai des frissons: c'était un grand monsieur, d'une élégance et d'un génie mélodique qui ont toujours manqué à aznavour, et d'un mauvais goût musical partfois que seuls les très grands (sinatra, peggy lee) se sont payés le luxe ou le culot d'avoir ....
des frissons aussi pour monsieur jean richard, qui continuait ses si beaux maigret en souffrant le martyre, à moitié paralysé, topujours d'une dignité exemplaire ...
vous tombez juste sur le "portrait que j'aurais pu faire de jr", si libé ne m'avait pas jeté dehors ... avec un mois d'avance: m'empêchant de publier sept ou huit chroniqurs déjà écrites, et de finir par où je voulais finir: trois chroniques de suite sur un maigret avec jean richard ... si je me souviens bien, c'était ... la nuit du carrefour ....
Louis, pourquoi vous les publieriez pas ici, sur votre blog, ces dernières chroniques ? Si vous trouvez que c'est pas une bonne idée, n'en parlons plus. Sinon...
it's old stuff, ce sont des vieilleries maintenant ... je vous disais ça seulement pour vous montrer que, coïncidence ou pas, vous aviez vu juste pour jean richard ... sur lequel précisément je n'avais pas encore écrit ....
de toute façon, merci pour votre extrême attention, on a besoin de fantômes pour mieux mordre au réel, non?
Oh, je sais pas si j'ai vu juste. J'ai seulement été touché par ces mots d'une de vos chroniques passées : "Jean Richard, je l'aime d'amour". C'est bête à dire mais ça m'avait ému au-delà du raisonnable. Pour tout vous dire, j'étais même prêt à vous suivre à fond la caisse dans cette idée pour le moins inédite que les Maigret avec Jean Richard étaient aussi beaux que des Murnau. C'était hier. J'attends maintenant avec impatience de voir "Skorecki déménage" et "Le retour des cinéphiles"? C'est pour quand ?
Oh, je sais pas si j'avais vu juste. J'avais surtout été ému au-delà du raisonnable par ces mots d'une de vos chroniques : "Jean Richard, je l'aime d'amour". J'étais même prêt à vous suivre à fond dans cette idée assez insolite que les Maigret avec Jean Richard étaient aussi beaux que des Murnau. Tout ça c'est des vieilleries mais comment s'en passer ? En regardant "Skorecki déménage" et "Le retour des cinéphiles" ? Sans doute, mais où et quand ?
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