mercredi 18 mars 2009

allons au 11 rue BERANGER, là où florence cousin habite, là où elle dort; là où elle meurt dans l'indifférence générale ...

il semble à l'heure d'aujourd'hui (mercredi 18 mars) que des négociations secrètes soient encore en cours entre d'un côté deux branches rivales de la cgt, mais que tout ça n'avance pas, l'une d'elles voulant forcer florence cousin depuis des semaines, à accepter un accord qu'elle récuse -c'est peut-être une "pauvre fille" comme on le dit ici et là à libération; mais son intégrité MORALE (d'autres, plus psy, diront sa "psycho-rigidité") lui interdisent d'échanger son honneur bafoué contre de l'argent .... pour des fautes qu'elle n'a jamais commises ..... et la direction de libération
demain elle entame sa SIXIEME SEMAINE DE GREVE DE LA FAIM
et même ici, plus personne ne s'en émeut ...
pourquoi, au moins, ne pas tous nous rendre au
11 rue BERANGER,
là où florence cousin habite, là où elle se meurt dans l'indifférence générale ... pour obliger laurent joffrin à signer un accord décent pour qu'elle sorte enfin de ce "journal" la tête haute ....

5 commentaires:

Casper a dit…

d'accord pour aller rue Béranger. y serez-vous ce soir ?

skorecki a dit…

je ne sais pas encore ...
peut-être demain matin ....

buster a dit…

Je suis passée voir Florence hier, alors que tout la racaille de boboland(libération) se prélassait sur les terrasses de la petite place à côté,entre les femmes toujours ce concours de qui sera la plus maigre et les hommes ... tous les mêmes : stéréotype du parisien inrockuptible? incorruptible... tu parles Charles! Elle avait la pêche Florence, pour quelqu'un qui n'a pas mangé depuis 35 jours,ça m'a impressionné... on a parlé un peu de Louis, de Jean Claude B qui est passé, de quand je passais voir Louis à libé, de la pimbêche... et de sa rage qui la maintenait, qui lui disait vas-y tu les auras!!!!

skorecki a dit…

allez répondre sur mediapart, svp
(j'ai copié ta réponse sur mediapart, buster, avec deux autres témoignages ....)

Anonyme a dit…

D'accord aussi. Pour vendredi après midi. (je peux pas avant).


" invraisemblable ou pas, crois-moi, c'est la vérité -et il n'y en a pas deux ..."