vendredi 1 octobre 2010

when john ford goes vaudeville, playin' black and white minstrel with stepin fetchit and will rogers in the sweet and lazy "judge priest"(1934)



la seule chose qui compte, c'est l'art de la paresse et du vaudeville (ou comment pêcher un gros poisson-chat plutôt que condamner un noir dégingandé qui parle comme le blackface emmett miller)

6 commentaires:

f-louis a dit…

ça à l'air génial comme film. est ce que c'est la même dame que dans autant en emporte le vent ?

Bonne journée louis.

skorecki a dit…

oui c'est génial ... pas autant que steamboat round the bend (avec le même fabuleux will rogers, le mark twain du 20 e siècle), mais bon ... et non, ce n'est pas la même dame .. désolé ...

f-louis a dit…

C'est cool de t'avoir tu sais ?

skorecki a dit…

i know, oui je sais ... (merci)

Anonyme a dit…

C est le Stepin Fetchit dont parle Ali dans Muhammad Ali The Greatest de W Klein?

Celui qui lui a appris the anchor punch pour battre Liston

skorecki a dit…

je ne sais pas ... peut-être ... c'est même probable ...


" invraisemblable ou pas, crois-moi, c'est la vérité -et il n'y en a pas deux ..."