lundi 7 septembre 2015

horreur réfugiée et crapulerie humanitaire


il n'aura fallu qu'une photo d'enfant mort maquillé/mignon, en un mot gentiment français, pour tourner la tête des salauds de l'hexagone, ceux là même qui ont dénoncé les juifs en les jetant vivants dans les chambres à gaz (mes parents, et moi aussi, avons réchappé du camp de concentration français de gürs ...)......... mort aux français, honte sur vous peuple aphasique alzheimerizé jusqu'à la moelle ..... ... .... .... .... .... .... ..... .... ............................................................................................................................................................................................................................................................................................................................................. ` PS/à titre d'information ` `2. NOTICE EXPLIcATIVE BANALE Le camp de Gurs est un camp de réfugiés construit en France à Gurs1 près d'Oloron-Sainte-Marie dans les Basses-Pyrénées (actuellement Pyrénées-Atlantiques) par le gouvernement d'Édouard Daladier entre le 15 mars et le 25 avril 1939 pour accueillir d'anciens combattants républicains de la Guerre civile espagnole après la prise de pouvoir du général Franco. Au début de la Seconde Guerre mondiale, le même gouvernement y interna des citoyens étrangers ressortissants des pays en guerre contre la France ainsi que des militants du Parti communiste français, favorable au Pacte germano-soviétique. Camp de Gurs - Îlot Après l'armistice du 22 juin 1940, signé avec l'Allemagne par le Gouvernement français de Pétain, le camp fut utilisé comme camp d'internement mixte pour accueillir des juifs de toutes nationalités – sauf français – capturés et déportés par le régime nazi dans des pays sous son contrôle (Allemagne, Autriche, Belgique, Pays-Bas)2. Près de 4 000 juifs furent transférés au camp de Drancy, entre le 6 août 1942 et le 3 mars 1943, puis en Pologne au camp d'Auschwitz où ils furent presque tous exécutés. Au cours de la guerre, le camp reçoit en plus des personnes qui avaient traversé la limite avec la zone occupée par les Allemands, des Espagnols qui avaient déjà été détenus au camp et qui, libérés à l’automne 1940, se trouvaient dans la région sans justifier d’emploi, des Espagnols en provenance d’autres camps fermés en raison des conditions de vie ou du faible nombre de détenus, des apatrides, des gitans, certains prisonniers de droit commun en attente de jugement (prostitution, marché noir, faux papiers, etc.). Après la Libération de la France, et avant sa fermeture définitive en 1946, y furent brièvement internés des prisonniers de guerre allemands, des français ayant collaboré avec les Allemands et des combattants espagnols qui avaient pris part à la Résistance, mais que leur volonté de mettre fin à la dictature de Franco rendait dangereux aux yeux des Alliés. Environ 64 000 personnes y ont été internées, et 1 072 y sont mortes, entre sa création en mars 1939 et sa fermeture à la fin de la guerre en août 1944.

1 commentaire:

Casper a dit…

Aveu piteux

Il y a une dizaine d'années, j'ai passé des vacances près de Navarrenx, soit à une petite dizaine de kilomètres de Gurs. Et jamais, je dis bien jamais, je n'ai soupçonné l'existence de ce camp où vous êtes né en plein hiver 1943. UN camp de concentration où, pourtant, des dizaines de milliers de personnes (enfants compris) ont été internés, où beaucoup sont morts. Un camp dont on ne parlait pas dans les manuels d'histoire ni ailleurs.


" invraisemblable ou pas, crois-moi, c'est la vérité -et il n'y en a pas deux ..."