vendredi 16 décembre 2011
back to vaudeville (i want to be a cowboy's sweetheart)
patsy montana and lee ann rimes, singing a pure vaudeville country yodel love song ...
jeudi 15 décembre 2011
mercredi 14 décembre 2011
fred astaire 1943, frank sinatra 1962
BILLIE HOLIDAY AND DEAN MARTIN'S VERSIONS (johnny mercer, qui a écrit les paroles sur une sublime mélodie de harold arlen, fait le barman dans la belle version dean martin)
johnny mercer chante sa chanson, en 1946 ...
back to vaudeville/jimmie rodgers 1931
early country vaudeville from country pioneer jimmie rodgers, posing in his brakeman's clothes ... (he used to work in trains) ...
russ columbo (1931), billie holiday (1941)
russ columbo, mort très très jeune, aurait peut-être été plus populaire que bing crosby, s'il avait vécu quelques années de plus ...
back to vaudeville (durante and keaton)
what! no beer ?/1933
JIMMY DURANTE/FRANK SINATRA: the song's gotta come from the heart ...
back to burlesque (barbara stanwyck 1943, mae west 1933)
barbara stanwyck/lady of burlesque: the g-string song
she done him wrong, from a guy what takes his time (mae west) West, 1933
back to vaudeville (armstrong, 1930)
qui se souvient qu'armstrong fut lui aussi un jeune éphèbe travesti du vaudeville?
gene austin, whispering jack smith (1928)
ramona/troublants essais de généalogie des premiers crooners de génie (suite)
back to vaudeville (rudy vallée 1929)
au jeu des influences, l'un des premiers séducteurs rastacouères a sûrement été rudy vallée, l'amoureux vagabond (vagabond lover) des contes et légendes du vaudeville mondain ambigu et presque romanichel ...
back to vaudeville (sammy davis jr)
... il a sept ans .... il chante i'll be glad when you're dead, you rascal you dans la plus pure manière du "song and dance man" des années vaudeville ....
back to vaudeville/al bowlly 1934
my melancholy baby, au jeu des influences, qui était le premier?
al bowlly était le plus grand crooner britannique des années 1920/1930 ... d'autant plus curieux que cet énigmatique chanteur de charme était né au mozambique de parents grecs/libanais
back to billie (1957)
fine and mellow, avec dans l'ordre ben webster (saxo ténor), lester young (saxo ténor), vic dickenson (trombone), gerry mulligan (saxo baryton), coleman hawkins (saxo ténor), roy eldridge trompette (mal waldron au piano .... )
shirley horn, frank sinatra
a sweet version of nice and easy by the great shirley horn; as opposed to one of the many versions frank sinatra did of this song, HIS song ....
shirley horn, peggy lee (1995)
l'un des plus rares enregistrements de shirley horn avec benny carter, 90 ans et, extrait des mêmes sessions avec benny carter, la toute dernière chanson de peggy lee; benny carter a écrit les musiques, il est au saxophone alto, comme d'habitude ...
lucy reed, shirley horn
a lazy afternoon/lucy reed (1955, avec bill evans, piano) ..../comparer avec la version sublime, un vrai classique du chuchotement intérieur, de shirley horn ....
just like tom thumb's blue (suite)
townes van zandt/ramblin' jack elliott/nina simone/bob dylan
just like tom thumb's blues/BONUS VERSION: bob dylan/george harrison (1970)
mardi 13 décembre 2011
aaron neville, 12 novembre 2011
tell it like it is, aaron neville (1966), the meters, le groupe funk de cyril neville (1974)
frank sinatra, billie holiday
violet for your furs, frank sinatra (1953), billie holiday (1958, from lady in satin, arranged by ray ellis).... shirley horn's version is also an absolute classic ...
vendredi 9 décembre 2011
bob dylan sous influence emmett miller
version tardive (memphis, 30/07/2011) de sugar baby, immaculée, sublime ...
emmett miller 1924/1929
à écouter tout ce que fait dylan depuis dix ans, depuis "love and theft" très exactement, on voit bien qu'il n'a qu'un maître, un seul ... emmett miller ...
... ceci dit, définir le yodel est très difficile: pour moi qui adore ce glissement invraisemblable et soudain vers un bref falsetto, c'est une des formes d'expression musicales les plus saugrenues et les plus attachantes .... voici deux des tout premiers exemples de ce style archaïque bouleversant ...
voici les deux faces parues en 1924 du premier 78 tours, rarissime (pickaninnie's paradise et anytime), d'emmett miller, le premier et le plus grand yodeler du vaudeville circuit ... et le seul grand black minstrel à avoir jamais enregistré .../et la version 1929, encore plus belle, de pickaninnie's paradise ...
jeudi 8 décembre 2011
billie holiday, frank sinatra, chet baker
i'm a fool to want you (billie holiday, 1958, from strange fruit)
another classic version, frank sinatra's capitol recording, with gordon jenkins' violins (1957) and a much later reading, by chet baker, in 1987 ...
lundi 5 décembre 2011
riley puckett 1924
rock all our babies to sleep, par riley puckett, le premier yodel officiel de la musique country, qui paraît en 1924, en même temps que les premières chansons sur disque d'emmett miller ...
tommy johnson 1928
cool drink of water blues, une manière follement originale de falsetto/yodel, un blues sublime dont on dit qu'il influença très tôt le jeune jimmie rodgers ...
lee morse, mon amour
j'avais oublié à quel point j'aimais lee morse, ce mélange invraisemblable de vaudeville et de broadway, de ballade jazzy et de country yodel, une petite bonne femme à trois octaves qui a ruiné sa carrière plus vite qu'il ne faut de temps pour l'écrire .... elle a commencé à enregistrer en 1924, ce petit film vitaphone, a million's me, est de 1930 ...
howlin' yodel
deux versions du chef d'oeuvre de howlin' wolf, smokestack lightnin'/d'abord l'original, ensuite la version plus belle encore, de cornelius edwards et butch cage au violon ...
samedi 3 décembre 2011
lovesick blues (comment le yodel est entré dans l'histoire ... )
la première version avec yodel (1928) de lovesick blues, celle d'emmett miller, qui inspira à l'évidence hank williams (films d'occasion production)
une belle version live de hank williams (1948)/une version sensuelle (1960) de patsy cline/la version du plus célèbre cow boy noir, charley pride (1969), de loin la plus lyrique et la plus virtuose, avec un yodel étourdissant ...
vendredi 2 décembre 2011
jimmie rodgers/bob wills (1930/1937)
blue yodel number one (t. for texas)/jimmie rodgers (1930)/bob wills and his texas playboys avec tommy duncan (1937)
jeudi 1 décembre 2011
sur la télévision
c'est le titre d'un recueil d'articles, principalement sur les séries, que j'ai écrit; il paraît aux éditions capricci ... j'ai devant les yeux le premier exemplaire ... la couverture est d'un vert atroce ... qu'est-ce que ça vaut, ces vieux textes? je n'en ai pas la moindre idée
mercredi 30 novembre 2011
diane jewett 1950
diane jewett, une jolie jeune fille oubliée au yodel irrésistible ... juste à sa gauche, la réincarnation d'amy winehouse ...
chris connor/chuck berry
a cottage for sale/écouter aussi sur youtube la version originale de willard robison, celle de peggy lee, celle de mel tormé, celle de jack teagarden aussi, peut-être la plus belle (productions des films d'occasion, envoyées sous le nom de skorecki7)
samedi 26 novembre 2011
no vaudeville (frank sinatra, 1965)
frank sinatra & gordon jenkins/it was a very good year (juillet 1965)
out of this world (peggy lee, 1957)
peggy lee avait enregistré he's my man dans the man i love (juillet 1957), son disque où frank sinatra dirigeait l'orchestre ... cette version télé date de novembre 1957
off vaudeville (larry jon wilson, 1970)
from the great film heartworn highways, with very young townes van zandt, guy clark, steve young, david allan coe, steve earle, rodney crowell .... (1970, edited version)
vendredi 25 novembre 2011
beverly kenney
la voix la plus pure, la plus cristalline, la plus parfaite .... éternellement belle, éternellement jeune (elle s'est suicidée en 1960, à trente ans)
samedi 19 novembre 2011
vendredi 18 novembre 2011
forever young 2011
mark knopfler chante les derniers mots ("may your songs always be sung) à l'adresse de dylan .... beaucoup d'émotion contenue dans ce dernier concert londonien (21 novembre 2011) de la tournée ...
forgetful
la version immaculée d'irene kral
la version originale, absolument sublime de david allyn
la version si douce et si parfaite de chet baker
un certain alain gouvrion ...
... vient de me virer de rolling stone ... plus de chronique ... je ne serais selon lui pas doué pour ce genre d'exercice ... il aurait pu me le dire plus tôt ... l'hypocrisie et la médiocrité sont ce qui me désolent le plus dans ce métier ... je ne m'y ferai jamais ....
jeudi 17 novembre 2011
lundi 14 novembre 2011
berele chagy
écouter le falsetto fragile et merveilleux de berele chagy, à 1.29 ... on n'en revient pas ... on n'en revient plus ... le plus doux, le plus introverti des grands cantors ...
berele chagy ... en 1919 (les larmes plus plus douces, les plus tristes, les plus anciennes au monde?)
dimanche 13 novembre 2011
september song
il y tant de belles versions de september song ...... frank sinatra évidemment, sarah vaughan avec clifford brown, ella fitzgerald avec paul smith, willie nelson ... , mais la meilleure version, de loin, de september song, c'est celle de jimmy durante (1955) ....
... sauf peut-être cette version oubliée, méconnue, chantée par walter huston, pour lequel kurt weill et maxwell anderson avaient spécialement écrit september song en 1938, pour la comédie musicale knickerbocker holiday...
bouteldja belkacem 1965
le véritable inventeur du raï, avec sa voix fabuleusement éraillée, quelques mois avant son association avec le trompettiste bellemou ... une légende oubliée ...
jeudi 3 novembre 2011
Alter Yechiel Karniol (1855-1928)
extraordinaire agilité vocale chez ce très ancien cantor, peut-être le plus vieux à avoir enregistré ...
yossele rosenblatt, 1929
devant les yeux tristes et éblouis de remords d'Al Jolson, dans the jazz singer, yossele rosenblatt en pleine puissance expressive ... il a été le plus célèbre, et le plus fêté, des grands cantors de l'âge classique ...
mardi 1 novembre 2011
moredechaï hershman 1931
écouter la douceur insensée, sucrée, une douceur de miel, de la voix de hershman ... aucun cantor ne sait plus chanter comme cela, la formule s'est perdue ... trop de morts, trop de désillusion pour que la musique ne s'en aille pas aussi ...
david roitman 1937
avec pierre pinchik, david roitman (1884 - 1943) est sans doute le plus grand cantor dont la voix nous soit parvenue .... admirer le contraste entre la fragilité angélique de son falsetto et sa pleine puissance de ténor d'opéra ... certaines de ses plus belles performances datent d'avant la première guerre mondiale ... écouter, admirer, pleurer ...
dylan/knopfler, 26 octobre 2011
bob dylan dans ses habits de vaudeville, toujours crédible en vieux white minstrel
lundi 31 octobre 2011
dave tarras/naftule brandwein
les deux premiers clarinettistes virtuoses, inventant en même temps le jazz klezmer
vendredi 28 octobre 2011
original black minstrels
bert williams était un amuseur noir qui forçait ses traits pour devenir un blackface, un black minstrel/emmett miller était un blanc de géorgie qui chantait le blues en black minstrel ...
d'où dylan vient-il, hein?
le retour du white minstrel
cette chanson, romance in durango, n'est vraiment pas ce que dylan a composé de meilleur ... artificielle, faussement enjouée, elle pourrait passer pour un échantillon pris sur le vif de tout ce qu'un chanteur folk américain ne devrait jamais faire ... il y a pourtant là une authenticité, une vérité, une vérité fardée évidemment, qu'on trouve rarement chez lui ... cette vérité là, faite de mensonges superposés qui en viennent à s'annuler, d'où vient-elle?
(à suivre)
white minstrel (suite)
it ain't me babe
it's a hard rain's a gonna fall/never let me go (avec joan jaez)
it takes a lot to laugh, it takes a train to cry
sara/dix chansons en white minstrel (1975)
jeudi 27 octobre 2011
mardi 25 octobre 2011
new york, juillet 1965
lunatic princess, un inédit sublimement électrique, enregistré en juillet 1965 pendant les sessions de highway 61 revisited (les images sont d'andy warhol)
anvers, 19 octobre 2011
love sick & not dark yet/on voudrait avoir les chansons dans leur totalité, mais tels quels, ces fragments de dylan en crooner sont presque parfaits de lenteur ralentie et de délicatesse enfantine
memphis, 30 juillet 2011
sugar baby, la dernière preuve enregistrée du génie de bob dylan, intact, délicat, fragile
vendredi 21 octobre 2011
dick haymes à hollywood
avec betty grable, le jeune dick haymes ensorcelle le monde ... ce n'est pas mon type d'homme, mais qu'est-ce qu'il chante bien ...
la tendre élégance du plus léger des barytons, dick haymes
moins radical que david allyn ... mais tellement charmant ...
vendredi 14 octobre 2011
peggy lee chante harold arlen
i had a love once, l'une des plus belles chansons de harold arlen (paroles et musique) dans une délicate version chuchotée et fragile, toujours sur le point de s'effondrer du trop d'amour qu'elle porte ...
david allyn/peggy lee
the folks who live on the hill ... david allyn est encore jeune, peggy lee a beaucoup vieilli, les deux versions sont parfaites, immaculées, belles à pleurer ... laquelle aurait choisit jerome kern?
jeudi 13 octobre 2011
je ne suis pas allé voir dylan à paris ...
.... il semble qu'il ait été bien meilleur la veille, à lille .... pour le moment les videos sont médiocres, le son est inaudible, impossible de juger ... dans quelques jours peut-être ...
forgetful heart, dans une version apaisée et lyrique, le 10 octobre à manchester ...
tangled up in blue .... glasgow, le 8 octobre, dans une version bien filmée, bien enregistrée, envahie de rictus/sourires ...
forgetful heart, dans une version apaisée et lyrique, le 10 octobre à manchester ...
vendredi 7 octobre 2011
j'ai décidé aujourd'hui ...
... de réécrire en français, ne serait-ce que pour me retrouver plus souvent en face de moi-même et des quelques idées que je suis encore susceptible d'avoir ...
i see you/peggy lee & benny carter
la toute dernière chanson enregistrée par la plus méconnue des grandes stylistes américaines, trop connue pour être vraiment aimée ...
billie et peggy
don't explain, l'une des plus belles chansons écrites par billie holiday, dans deux versions absolument bouleversantes: par billie elle-même, à la fin de sa courte vie (avec mal waldron au piano); et par la seule chanteuse blanche capable de ralentir encore le tempo, au delà de la douleur, celle que j'aime au delà des mots, mademoiselle peggy lee ....
ne pas oublier la voix ...
.... enfumée de chris connor, la jeune chris connor de 1955.... l'art du sfumato, comme dirait joliment gilles tordjman, c'est elle qui l'incarne le mieux dans ses quatre 25 cm bethlehem ...
larry jon wilson
larry jon wilson, grand soulman, grand blues man de georgie, en 2007, trois ans avant sa mort, dans trois chansons sur des prostituées ... la dernière est une version immaculée de san francisco mabel joy, l'une des plus belles chansons de mickey newbury ....
peggy lee 1950
toute jeune, se risquant à se mesurer à un standard de billie holiday, i cover the waterfront, peggy lee prouve avec une folle légèreté qu'elle est la reine de la ballade ... .... triste ou sautillante, elle est la plus éblouissante, la seule dont le jeune sinatra était jaloux ...
qui chante le mieux cette belle chanson de gershwin? ... ... pas sûr que ce soit sinatra ...
mercredi 28 septembre 2011
who was the minstrel man from georgia?
originally, it's emmett miller, a white man performing as blackface all around the south in the early twenties, when vaudeville reigned supreme
young blind willie mc tell/old peg leg howell (baby let me play with your yo yo)
.... and what about white minstrel bob dylan, as much influenced by emmett miller as he was by blind willie mc tell?
.... but it might also be blind willie mc tell, a wandering georgia sweet voiced bluesman and gospel moaner ... or another great plaintive blues serenader, peg leg howell?
young blind willie mc tell/old peg leg howell (baby let me play with your yo yo)
.... and what about white minstrel bob dylan, as much influenced by emmett miller as he was by blind willie mc tell?
.... not forgetting the one and only prince of funk music, james brown, who grew up in miserable augusta, georgia ...?
lundi 12 septembre 2011
portsmouth 2000
it's raining italian tears, mexican mandolins, when a hard rain's-a-gonna fall starts ... ... children running all around, nobody listening for real because it's way too painful ... .... what an elegant and stylish way to suffer ... until the ballad of frankie lee and judas priest raises the level so high no human words can describe the joy and fear running through our veins ...
samedi 3 septembre 2011
dimanche 28 août 2011
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" invraisemblable ou pas, crois-moi, c'est la vérité -et il n'y en a pas deux ..."
