vendredi 16 décembre 2011

back to vaudeville (i want to be a cowboy's sweetheart)


patsy montana and lee ann rimes, singing a pure vaudeville country yodel love song ...

back to vaudeville (cecil b. de mille 1930)


jeudi 15 décembre 2011

back to vaudeville (allan dwan 1947)

calendar girl (dwan, 1947)

mercredi 14 décembre 2011

fred astaire 1943, frank sinatra 1962



BILLIE HOLIDAY AND DEAN MARTIN'S VERSIONS (johnny mercer, qui a écrit les paroles sur une sublime mélodie de harold arlen, fait le barman dans la belle version dean martin)


johnny mercer chante sa chanson, en 1946 ...

back to vaudeville (nelson eddy, 1937)


nelson eddy and jeanette mc donald in rose marie (1937)

back to vaudeville/jimmie rodgers 1931

early country vaudeville from country pioneer jimmie rodgers, posing in his brakeman's clothes ... (he used to work in trains) ...

russ columbo (1931), billie holiday (1941)

russ columbo, mort très très jeune, aurait peut-être été plus populaire que bing crosby, s'il avait vécu quelques années de plus ...

back to vaudeville (durante and keaton)


what! no beer ?/1933

JIMMY DURANTE/FRANK SINATRA: the song's gotta come from the heart ...

back to burlesque (barbara stanwyck 1943, mae west 1933)


barbara stanwyck/lady of burlesque: the g-string song

she done him wrong, from a guy what takes his time (mae west) West, 1933

back to vaudeville (laurel et hardy 1927)

back to vaudeville (armstrong, 1930)

qui se souvient qu'armstrong fut lui aussi un jeune éphèbe travesti du vaudeville?

gene austin, whispering jack smith (1928)


ramona/troublants essais de généalogie des premiers crooners de génie (suite)

back to vaudeville (rudy vallée 1929)

au jeu des influences, l'un des premiers séducteurs rastacouères a sûrement été rudy vallée, l'amoureux vagabond (vagabond lover) des contes et légendes du vaudeville mondain ambigu et presque romanichel ...

back to vaudeville (sammy davis jr)


... il a sept ans .... il chante i'll be glad when you're dead, you rascal you dans la plus pure manière du "song and dance man" des années vaudeville ....

back to vaudeville (harry langdon, 1926)

back to vaudeville/eddie cantor


busby berkeley's yes, yes(1931)

back to vaudeville/al bowlly 1934


my melancholy baby, au jeu des influences, qui était le premier?
al bowlly était le plus grand crooner britannique des années 1920/1930 ... d'autant plus curieux que cet énigmatique chanteur de charme était né au mozambique de parents grecs/libanais

gene austin 1927, frank sinatra 1960


my melancholy baby (petit essai de généalogie, suite)

whispering jack smith/al bowlly (1927)

al bowlly 1934, billie holiday 1949


dylan 1966, handsome family 2009


just like tom thumb's blues/two best versions ever?

mildred bailey 1931, billie holiday 1941


la seule vraie question, c'est: qui a influencé qui?

lee wiley 1944, billie holiday 1947


une seule question: qui a influencé qui?

back to billie (1957)


fine and mellow, avec dans l'ordre ben webster (saxo ténor), lester young (saxo ténor), vic dickenson (trombone), gerry mulligan (saxo baryton), coleman hawkins (saxo ténor), roy eldridge trompette (mal waldron au piano .... )

shirley horn, frank sinatra


a sweet version of nice and easy by the great shirley horn; as opposed to one of the many versions frank sinatra did of this song, HIS song ....

shirley horn, peggy lee (1995)


l'un des plus rares enregistrements de shirley horn avec benny carter, 90 ans et, extrait des mêmes sessions avec benny carter, la toute dernière chanson de peggy lee; benny carter a écrit les musiques, il est au saxophone alto, comme d'habitude ...

lucy reed, shirley horn


a lazy afternoon/lucy reed (1955, avec bill evans, piano) ..../comparer avec la version sublime, un vrai classique du chuchotement intérieur, de shirley horn ....

just like tom thumb's blue (suite)



townes van zandt/ramblin' jack elliott/nina simone/bob dylan
just like tom thumb's blues/BONUS VERSION: bob dylan/george harrison (1970)

mardi 13 décembre 2011

aaron neville, 12 novembre 2011



tell it like it is, aaron neville (1966), the meters, le groupe funk de cyril neville (1974)

frank sinatra, billie holiday

violet for your furs, frank sinatra (1953), billie holiday (1958, from lady in satin, arranged by ray ellis).... shirley horn's version is also an absolute classic ...

vendredi 9 décembre 2011

bob dylan sous influence emmett miller

version tardive (memphis, 30/07/2011) de sugar baby, immaculée, sublime ...

emmett miller 1924/1929

à écouter tout ce que fait dylan depuis dix ans, depuis "love and theft" très exactement, on voit bien qu'il n'a qu'un maître, un seul ... emmett miller ...

... ceci dit, définir le yodel est très difficile: pour moi qui adore ce glissement invraisemblable et soudain vers un bref falsetto, c'est une des formes d'expression musicales les plus saugrenues et les plus attachantes .... voici deux des tout premiers exemples de ce style archaïque bouleversant ...
voici les deux faces parues en 1924 du premier 78 tours, rarissime (pickaninnie's paradise et anytime), d'emmett miller, le premier et le plus grand yodeler du vaudeville circuit ... et le seul grand black minstrel à avoir jamais enregistré .../et la version 1929, encore plus belle, de pickaninnie's paradise ...

à lire dans les inrockuptibles (sur la photo, louis skorecki à 15 ans et raymond souplex)

jeudi 8 décembre 2011

billie holiday, frank sinatra, chet baker


i'm a fool to want you
(billie holiday, 1958, from strange fruit)

another classic version, frank sinatra's capitol recording, with gordon jenkins' violins (1957) and a much later reading, by chet baker, in 1987 ...

lundi 5 décembre 2011

riley puckett 1924


rock all our babies to sleep, par riley puckett, le premier yodel officiel de la musique country, qui paraît en 1924, en même temps que les premières chansons sur disque d'emmett miller ...

tommy johnson 1928

cool drink of water blues, une manière follement originale de falsetto/yodel, un blues sublime dont on dit qu'il influença très tôt le jeune jimmie rodgers ...

lee morse, mon amour


j'avais oublié à quel point j'aimais lee morse, ce mélange invraisemblable de vaudeville et de broadway, de ballade jazzy et de country yodel, une petite bonne femme à trois octaves qui a ruiné sa carrière plus vite qu'il ne faut de temps pour l'écrire .... elle a commencé à enregistrer en 1924, ce petit film vitaphone, a million's me, est de 1930 ...

howlin' yodel


deux versions du chef d'oeuvre de howlin' wolf, smokestack lightnin'/d'abord l'original, ensuite la version plus belle encore, de cornelius edwards et butch cage au violon ...

samedi 3 décembre 2011

cliff carlisle, le yodel le plus lyrique ...

... et le plus virtuose

lovesick blues (comment le yodel est entré dans l'histoire ... )


la première version avec yodel (1928) de lovesick blues, celle d'emmett miller, qui inspira à l'évidence hank williams (films d'occasion production)


une belle version live de hank williams (1948)/une version sensuelle (1960) de patsy cline/la version du plus célèbre cow boy noir, charley pride (1969), de loin la plus lyrique et la plus virtuose, avec un yodel étourdissant ...

vendredi 2 décembre 2011

jimmie rodgers/bob wills (1930/1937)

blue yodel number one (t. for texas)/jimmie rodgers (1930)/bob wills and his texas playboys avec tommy duncan (1937)

jeudi 1 décembre 2011

jimmie rodgers 1930

le yodel le plus minimal de l'histoire de la musique ...

sur la télévision

c'est le titre d'un recueil d'articles, principalement sur les séries, que j'ai écrit; il paraît aux éditions capricci ... j'ai devant les yeux le premier exemplaire ... la couverture est d'un vert atroce ... qu'est-ce que ça vaut, ces vieux textes? je n'en ai pas la moindre idée


ballad of a thin man, version noire et rieuse à la fois (stockholm, 4 novembre 2011)

mercredi 30 novembre 2011

diane jewett 1950


diane jewett, une jolie jeune fille oubliée au yodel irrésistible ... juste à sa gauche, la réincarnation d'amy winehouse ...

chris connor/chuck berry


a cottage for sale/écouter aussi sur youtube la version originale de willard robison, celle de peggy lee, celle de mel tormé, celle de jack teagarden aussi, peut-être la plus belle (productions des films d'occasion, envoyées sous le nom de skorecki7)

emmett miller 1936

deux de ses toutes dernières chansons (très rares aussi à trouver)

samedi 26 novembre 2011

no vaudeville (frank sinatra, 1965)

frank sinatra & gordon jenkins/it was a very good year (juillet 1965)

out of vaudeville (frank sinatra, 1962)

all the way/ genius at work in mikado, japan (1962)

out of this world (peggy lee, 1957)

peggy lee avait enregistré he's my man dans the man i love (juillet 1957), son disque où frank sinatra dirigeait l'orchestre ... cette version télé date de novembre 1957

off vaudeville (larry jon wilson, 1970)

from the great film heartworn highways, with very young townes van zandt, guy clark, steve young, david allan coe, steve earle, rodney crowell .... (1970, edited version)

vendredi 25 novembre 2011

beverly kenney

la voix la plus pure, la plus cristalline, la plus parfaite .... éternellement belle, éternellement jeune (elle s'est suicidée en 1960, à trente ans)

mon compteur marque 100.310 ...

... oui, mais 100. 310 quoi?

samedi 19 novembre 2011

zavel kwartin (1874-1952)

un grand cantor ukrainien: des larmes lyriques, oui mais des larmes ...

vendredi 18 novembre 2011

forever young 2011

mark knopfler chante les derniers mots ("may your songs always be sung) à l'adresse de dylan .... beaucoup d'émotion contenue dans ce dernier concert londonien (21 novembre 2011) de la tournée ...

forgetful


la version immaculée d'irene kral

la version originale, absolument sublime de david allyn
la version si douce et si parfaite de chet baker

un certain alain gouvrion ...

... vient de me virer de rolling stone ... plus de chronique ... je ne serais selon lui pas doué pour ce genre d'exercice ... il aurait pu me le dire plus tôt ... l'hypocrisie et la médiocrité sont ce qui me désolent le plus dans ce métier ... je ne m'y ferai jamais ....

love sick 2011

peggy lee 1950


i only have eyes for you, with husband dave barbour

jeudi 17 novembre 2011

lundi 14 novembre 2011

leo fuchs, le fred astaire yiddish

une scène du marieur américain d'edgar g. ulmer

berele chagy


écouter le falsetto fragile et merveilleux de berele chagy, à 1.29 ... on n'en revient pas ... on n'en revient plus ... le plus doux, le plus introverti des grands cantors ...

berele chagy ... en 1919 (les larmes plus plus douces, les plus tristes, les plus anciennes au monde?)

dimanche 13 novembre 2011

september song


il y tant de belles versions de september song ...... frank sinatra évidemment, sarah vaughan avec clifford brown, ella fitzgerald avec paul smith, willie nelson ... , mais la meilleure version, de loin, de september song, c'est celle de jimmy durante (1955) ....
... sauf peut-être cette version oubliée, méconnue, chantée par walter huston, pour lequel kurt weill et maxwell anderson avaient spécialement écrit september song en 1938, pour la comédie musicale knickerbocker holiday...

bouteldja belkacem 1965

le véritable inventeur du raï, avec sa voix fabuleusement éraillée, quelques mois avant son association avec le trompettiste bellemou ... une légende oubliée ...

jeudi 3 novembre 2011

Alter Yechiel Karniol (1855-1928)

extraordinaire agilité vocale chez ce très ancien cantor, peut-être le plus vieux à avoir enregistré ...

yossele rosenblatt, 1929

devant les yeux tristes et éblouis de remords d'Al Jolson, dans the jazz singer, yossele rosenblatt en pleine puissance expressive ... il a été le plus célèbre, et le plus fêté, des grands cantors de l'âge classique ...

mardi 1 novembre 2011

moredechaï hershman 1931


écouter la douceur insensée, sucrée, une douceur de miel, de la voix de hershman ... aucun cantor ne sait plus chanter comme cela, la formule s'est perdue ... trop de morts, trop de désillusion pour que la musique ne s'en aille pas aussi ...

david roitman 1937


avec pierre pinchik, david roitman (1884 - 1943) est sans doute le plus grand cantor dont la voix nous soit parvenue .... admirer le contraste entre la fragilité angélique de son falsetto et sa pleine puissance de ténor d'opéra ... certaines de ses plus belles performances datent d'avant la première guerre mondiale ... écouter, admirer, pleurer ...

dylan/knopfler, 26 octobre 2011


bob dylan dans ses habits de vaudeville, toujours crédible en vieux white minstrel

lundi 31 octobre 2011

d'où vient presley ...


shep fields orchestra, 1937/elvis presley, 1957

dave tarras/naftule brandwein


les deux premiers clarinettistes virtuoses, inventant en même temps le jazz klezmer

vendredi 28 octobre 2011

original black minstrels


bert williams était un amuseur noir qui forçait ses traits pour devenir un blackface, un black minstrel/emmett miller était un blanc de géorgie qui chantait le blues en black minstrel ...
d'où dylan vient-il, hein?

le retour du white minstrel


cette chanson, romance in durango, n'est vraiment pas ce que dylan a composé de meilleur ... artificielle, faussement enjouée, elle pourrait passer pour un échantillon pris sur le vif de tout ce qu'un chanteur folk américain ne devrait jamais faire ... il y a pourtant là une authenticité, une vérité, une vérité fardée évidemment, qu'on trouve rarement chez lui ... cette vérité là, faite de mensonges superposés qui en viennent à s'annuler, d'où vient-elle?
(à suivre)

white minstrel (suite)


it ain't me babe

it's a hard rain's a gonna fall/never let me go (avec joan jaez)
it takes a lot to laugh, it takes a train to cry

sara/dix chansons en white minstrel (1975)

mardi 25 octobre 2011

new york, juillet 1965


lunatic princess, un inédit sublimement électrique, enregistré en juillet 1965 pendant les sessions de highway 61 revisited (les images sont d'andy warhol)

anvers, 19 octobre 2011


love sick & not dark yet/on voudrait avoir les chansons dans leur totalité, mais tels quels, ces fragments de dylan en crooner sont presque parfaits de lenteur ralentie et de délicatesse enfantine

memphis, 30 juillet 2011


sugar baby, la dernière preuve enregistrée du génie de bob dylan, intact, délicat, fragile

vendredi 21 octobre 2011

dick haymes à hollywood

avec betty grable, le jeune dick haymes ensorcelle le monde ... ce n'est pas mon type d'homme, mais qu'est-ce qu'il chante bien ...

la tendre élégance du plus léger des barytons, dick haymes


moins radical que david allyn ... mais tellement charmant ...

vendredi 14 octobre 2011

peggy lee chante harold arlen


i had a love once, l'une des plus belles chansons de harold arlen (paroles et musique) dans une délicate version chuchotée et fragile, toujours sur le point de s'effondrer du trop d'amour qu'elle porte ...

frank sinatra/david allyn


david allyn/peggy lee


the folks who live on the hill ... david allyn est encore jeune, peggy lee a beaucoup vieilli, les deux versions sont parfaites, immaculées, belles à pleurer ... laquelle aurait choisit jerome kern?

meilleur que johnny hartman?

oui, david allyn est le meilleur crooner baryton de tous les temps ...

jeudi 13 octobre 2011

je ne suis pas allé voir dylan à paris ...

.... il semble qu'il ait été bien meilleur la veille, à lille .... pour le moment les videos sont médiocres, le son est inaudible, impossible de juger ... dans quelques jours peut-être ...
tangled up in blue .... glasgow, le 8 octobre, dans une version bien filmée, bien enregistrée, envahie de rictus/sourires ...


forgetful heart, dans une version apaisée et lyrique, le 10 octobre à manchester ...

vendredi 7 octobre 2011

j'ai décidé aujourd'hui ...

... de réécrire en français, ne serait-ce que pour me retrouver plus souvent en face de moi-même et des quelques idées que je suis encore susceptible d'avoir ...
i see you/peggy lee & benny carter
la toute dernière chanson enregistrée par la plus méconnue des grandes stylistes américaines, trop connue pour être vraiment aimée ...

billie et peggy

don't explain, l'une des plus belles chansons écrites par billie holiday, dans deux versions absolument bouleversantes: par billie elle-même, à la fin de sa courte vie (avec mal waldron au piano); et par la seule chanteuse blanche capable de ralentir encore le tempo, au delà de la douleur, celle que j'aime au delà des mots, mademoiselle peggy lee ....

ne pas oublier la voix ...

.... enfumée de chris connor, la jeune chris connor de 1955.... l'art du sfumato, comme dirait joliment gilles tordjman, c'est elle qui l'incarne le mieux dans ses quatre 25 cm bethlehem ...

chris connor 1954

avec le merveilleux ellis larkins au piano (films d'occasion production)

larry jon wilson

larry jon wilson, grand soulman, grand blues man de georgie, en 2007, trois ans avant sa mort, dans trois chansons sur des prostituées ... la dernière est une version immaculée de san francisco mabel joy, l'une des plus belles chansons de mickey newbury ....

peggy lee 1950

toute jeune, se risquant à se mesurer à un standard de billie holiday, i cover the waterfront, peggy lee prouve avec une folle légèreté qu'elle est la reine de la ballade ... .... triste ou sautillante, elle est la plus éblouissante, la seule dont le jeune sinatra était jaloux ...
qui chante le mieux cette belle chanson de gershwin? ... ... pas sûr que ce soit sinatra ...

mercredi 28 septembre 2011

who was the minstrel man from georgia?

originally, it's emmett miller, a white man performing as blackface all around the south in the early twenties, when vaudeville reigned supreme
.... but it might also be blind willie mc tell, a wandering georgia sweet voiced bluesman and gospel moaner ... or another great plaintive blues serenader, peg leg howell?


young blind willie mc tell/old peg leg howell (baby let me play with your yo yo)
.... and what about white minstrel bob dylan, as much influenced by emmett miller as he was by blind willie mc tell?
.... not forgetting the one and only prince of funk music, james brown, who grew up in miserable augusta, georgia ...?

the meters, total funk 1974

lundi 12 septembre 2011

portsmouth 2000


it's raining italian tears, mexican mandolins, when a hard rain's-a-gonna fall starts ... ... children running all around, nobody listening for real because it's way too painful ... .... what an elegant and stylish way to suffer ... until the ballad of frankie lee and judas priest raises the level so high no human words can describe the joy and fear running through our veins ...

slim harpo 1966

professor longhair 1949

samedi 3 septembre 2011

hollywood funk


slim and slam (from helzapoppin', 1941)

original new orleans funk


eddie bo (1956)/the meters (1968)

the meters (live, 1974)

dimanche 28 août 2011

birth of funk


olympia, paris, 1971

olympia, paris, 1967

" invraisemblable ou pas, crois-moi, c'est la vérité -et il n'y en a pas deux ..."