samedi 9 février 2019

mes années Libé; chronique

mes années Libé; chronique (un)


....
....
....





prenez les cadeaux, TOUS les cadeaux", 

comme skorecki le faisait en riant pour énerver les cadres sup sup trop payés, outrepassés, horrifiés, de tant de cadeaux donnés à ce skorecki va nu pieds ... (littéralement) sur moquette sale et acadiens méchants ...
pour énerver aussi les fils mouchard (Joffrin, Laurent, batôman mondain de droite), les fils poussins, tout ça e long d'un levee chanté par little bob "Donald duck" dylan, un fleuve mississippien qui débordait tous les dimanche matin, surtout celui où petit louis filmait à vif (pour l'inachevé futur, inachevé car interdit de filmer, SKORECKI DéMéAGE, en documentaire direct, 
c'était donc une paresseuse réunion de rédaction endimanchée/endormie (pas lui, le skorecki bossait à Libé dès 7h du mat, à côté de ses seuls ami(e)s de ce journal sadico décomplexé par tous les neveux de Mauriac, les filles simsolo, et les 
dépensez, achetez, rêvez ces lassos rêvés pour petits enfant sur power rangers express, lego tgv, playmobil concorde, tout ça rangé dans des armoires entières de jouets qiio lui arrivaient rue béranger/dérangée, pour ses chronos futuristico/power rangerisées/lego usées d'amour sur la télé in et hors réalité;

ce que LOUIS LUMIèRE, qui ne voyait pas ben dans le noir, a inventé dans un moment de myopie, d'inattention, ou d'amour ....

2 commentaires:

Casper a dit…

"Skorecki déménage" aurait pu tout aussi bien s'appeler "Skorecki dégage !"pour reprendre les mots violents et dégueulasses de ce larbin de Mouchard. Quand j'ai vu le film, en 2009 à Belfort, je suis tombé de haut : alors c'était ça, finalement, le vrai visage de Libé ?
Sinon, il y a aussi des moments d'une drôlerie féroce dans ce film (ce Skorecki est un "sacré personnage", comme on dit) et puis la voix de Pinchik qui vous emmène dès le début de cette histoire dont on ne sait pas si c'est un conte pour enfant ou un véritable cauchemar...

skorecki_louis@yahoo.fr a dit…

merci small fantome


" invraisemblable ou pas, crois-moi, c'est la vérité -et il n'y en a pas deux ..."