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" invraisemblable ou pas, crois-moi, c'est la vérité -et il n'y en a pas deux ..."
" invraisemblable ou pas, crois-moi, c'est la vérité -et il n'y en a pas deux ..."
" invraisemblable ou pas, crois-moi, c'est la vérité -et il n'y en a pas deux ..."
4 commentaires:
dans la fille de nulle part
il avait déposé l 'adagieto de malher sur ses images.
pour plus de mélancolie , pour aussi plus d'élévation
dans la fille de nulle part , brisseau est tres touchant.
un peu à la dérive , mangeant du cassoulet à même la boite
en chemise blanche apres la premier depart de dora .
cette jeune fille qui introduit sa vie de solitude un peu par effraction
Aujourdh'ui cela nous semble un si joli portrait de jean claude brisseau
cette facon de capter la beauté ephémère
la rencontre avec Lise son éléve qui se rappelle les ciné club du mercredi et dépose sur sa joue un baiser furtif
et sur les quai de seine en arriere plan des deux vieux amis las, qui parlent de platon
de léopoldine et de victor hugo , les jupes des filles qui s'envolent et dévoilent leur
intimité, innocemment, si legerement ,angeliquement
très joli texte, c'est ça brisseau, un homme délicat qui a rêvé sa vie si fort qu'il a réussi à l briser comme une poupée ...
Mocky est mort
oui
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