cher Louis S. je tiens à vous remercier pour vos merveilleux "cinéphiles" qui ont provoqué chez moi aujourd'hui les mêmes émois qu'Eustache, Truffaut et Resnais suscitèrent chez l'adolescent niant sa sexualité sur les sièges de la cinémathèque et des salles aujourd'hui disparues du quartier latin... le presque quinqua de 2008 réalise qu'il n'a jamais retrouvé une telle fièvre culturelle... la lecture du journal de jean-luc lagarce m'a pareillement projeté vers cette nostalgie sans passéisme... ce n'était pas mieux avant, c'était juste avant... encore merci et au plaisir de vous retrouver...
Le cinéma, c'était par exemple emmener sa petite soeur (une gosse du tonnerre qui savait toujours qu'un film merdique était merdique ou qu'un bon film était bon) voir "La femme du boulanger" ou "Les 39 marches", dont elle connaissait les dialogues par coeur. Le cinéma, c'était beau comme une chanson : "un coeur attrape un coeur dans les seigles..."
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cher Louis S.
je tiens à vous remercier pour vos merveilleux "cinéphiles" qui ont provoqué chez moi aujourd'hui les mêmes émois qu'Eustache, Truffaut et Resnais suscitèrent chez l'adolescent niant sa sexualité sur les sièges de la cinémathèque et des salles aujourd'hui disparues du quartier latin... le presque quinqua de 2008 réalise qu'il n'a jamais retrouvé une telle fièvre culturelle... la lecture du journal de jean-luc lagarce m'a pareillement projeté vers cette nostalgie sans passéisme... ce n'était pas mieux avant, c'était juste avant...
encore merci et au plaisir de vous retrouver...
Le cinéma, c'était par exemple emmener sa petite soeur (une gosse du tonnerre qui savait toujours qu'un film merdique était merdique ou qu'un bon film était bon) voir "La femme du boulanger" ou "Les 39 marches", dont elle connaissait les dialogues par coeur. Le cinéma, c'était beau comme une chanson : "un coeur attrape un coeur dans les seigles..."
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